Le secrétaire d'État américain Mike Pompeo a promis lundi 7 janvier que "l'État islamique en Irak et en Syrie" (EIIS) ne serait pas autorisé à se regrouper alors qu'il se rendait au Moyen-Orient pour un voyage de huit jours, a rapporté l'AFP.
Avant son départ pour un voyage dans huit capitales arabes, Pompeo a déclaré à la presse qu'il montrerait que "les États-Unis sont toujours attachés à toutes les missions que nous avons engagées avec eux au cours des deux dernières années".
Le président Donald Trump a cherché lundi à mettre fin aux craintes d'un retrait brutal des États-Unis de la Syrie, affirmant que la lutte contre l'EIIS n'était pas terminée et que ce retrait se ferait de manière "prudente".
"Nous partirons à un rythme convenable tout en continuant à nous battre contre l'EIIS et à faire tout ce qui est prudent et nécessaire!", a déclaré Trump sur Twitter.
Dans un appel, le président français Emmanuel Macron et Trump ont également évoqué "l'engagement des États-Unis et de la France à anéantir l'EIIS, ainsi que des projets de retrait fort, délibéré et coordonné des troupes américaines de Syrie", a dindiqué la maison blanche.
"Ils ont réitéré que toute utilisation ultérieure d'armes chimiques en Syrie ne devait pas être tolérée".
