En photos : Les Yéménites appellent à la paix et rejettent la guerre

Al-Mashareq et AFP

Un artiste yéménite peint un graffiti sur un mur de Sanaa représentant le symbole de paix saignant, en référence à la guerre en cours qui déchire le pays depuis quatre ans et à l'échec des négociations pour une résolution pacifique. [Mohammed Huwais/AFP]

Un artiste yéménite peint un graffiti sur un mur de Sanaa représentant le symbole de paix saignant, en référence à la guerre en cours qui déchire le pays depuis quatre ans et à l'échec des négociations pour une résolution pacifique. [Mohammed Huwais/AFP]

Un artiste yéménite peint un sablier qui montre des individus tombant dans le conflit en cours dans le pays. [Mohammed Huwais/AFP]

Un artiste yéménite peint un sablier qui montre des individus tombant dans le conflit en cours dans le pays. [Mohammed Huwais/AFP]

Un artiste yéménite peint un graffiti pour la paix sur un mur à Sanaa le 16 août, représentant un homme tenant une lanterne ornée d'un symbole de paix. [Mohammed Huwais/AFP]  

Un artiste yéménite peint un graffiti pour la paix sur un mur à Sanaa le 16 août, représentant un homme tenant une lanterne ornée d'un symbole de paix. [Mohammed Huwais/AFP]  

Un graffiti sur un mur de Sanaa représente un homme et une femme en habits traditionnels et une colombe entre eux. [Mohammed Huwais/AFP]

Un graffiti sur un mur de Sanaa représente un homme et une femme en habits traditionnels et une colombe entre eux. [Mohammed Huwais/AFP]

Un artiste yéménite peint le 16 août une colombe tenant une branche d'olivier, symbole de paix, sur un mur de Sanaa, la capitale. [Mohammed Huwais/AFP]

Un artiste yéménite peint le 16 août une colombe tenant une branche d'olivier, symbole de paix, sur un mur de Sanaa, la capitale. [Mohammed Huwais/AFP]

Un graffiti représentant des Yéménites en habits colorés s'abritant sous une tente décore un mur de Sanaa parmi d'autres fresques appelant à la paix et à la tolérance et rejetant la guerre. [Mohammed Huwais/AFP]

Un graffiti représentant des Yéménites en habits colorés s'abritant sous une tente décore un mur de Sanaa parmi d'autres fresques appelant à la paix et à la tolérance et rejetant la guerre. [Mohammed Huwais/AFP]

Un artiste yéménite peint un graffiti qui appelle à la fin de la guerre au Yémen en montrant un homme blessé lors d'une frappe aérienne. [Mohammed Huwais/AFP]

Un artiste yéménite peint un graffiti qui appelle à la fin de la guerre au Yémen en montrant un homme blessé lors d'une frappe aérienne. [Mohammed Huwais/AFP]

Des artistes yéménites peignent des graffitis pour la paix sur un mur de Sanaa le 16 août, appelant à la paix et la tolérance et rejetant le conflit en cours dans le pays. [Mohammed Huwais/AFP]

Des artistes yéménites peignent des graffitis pour la paix sur un mur de Sanaa le 16 août, appelant à la paix et la tolérance et rejetant le conflit en cours dans le pays. [Mohammed Huwais/AFP]

Alors que les pourparlers de paix sous l'égide des Nations unies doivent reprendre à Genève le mois prochain, des jeunes se sont rassemblés le 16 août à Sanaa, au Yémen, pour décorer un mur de la ville avec des graffitis en faveur de la paix.

À travers une série de fresques représentant des symboles de paix, des colombes, des empreintes de mains colorées, des lanternes et des Yéménites en habit traditionnel, ils appellent à la paix et à la tolérance et rejettent le conflit en cours dans le pays, qui entre dans sa cinquième année.

Les Nations unies ont invité le gouvernement yéménite et les Houthis (Ansarallah), soutenus par l'Iran, à Genève le mois prochain pour des discussions, qui doivent débuter le 6 septembre et qui tenteront d'apporter une solution pacifique à la guerre civile qui fait rage dans le pays.

La précédente phase de négociations sous l'égide des Nations unies avait échoué en 2016.

Un artiste yéménite peint une colombe tenant une branche d'olivier, symbole de paix, sur un mur de Sanaa le 16 août. [Mohammed Huwais/AFP]

Un artiste yéménite peint une colombe tenant une branche d'olivier, symbole de paix, sur un mur de Sanaa le 16 août. [Mohammed Huwais/AFP]

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